“Tout est faux ou presque des peurs qui attribuent à la “mondialisation” les crises que connaissent les pays riches. Les transformations en cours s’observent en effet dans n’importe lequel des métiers, des secteurs, qu’ils soient en contact ou pas avec l’économie mondiale.” Par ce diagnostic, l’auteur invite à réinterpréter les transformations du monde contemporain à l’aune d’une nouvelle révolution industrielle. C’est à dire qu’il faut imputer la responsabilité du chômage et des inégalités contemporaines, et non au commerce, aujourd’hui encore si mince, avec les pays pauvres. Ce renversement de perspective oblige à repenser les moyens de combattre la crise.
Ce livre d’une grande clarté a été salué par la presse comme “le livre le plus clair et le moins ennuyeux que l’on ait eu depuis longtemps” (Sabine Delanglade, L’express).
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