Même que sa boite noire – pour ce qui est de ses souvenir de gosse entre six et seize ans – est pleine de choses drôles, émouvantes, débordantes d’affection et d joie. Y a-t-il un livre sur l’enfance qui sonne plus vrai que celui-ci ?
Bernard Pivot, Lire
Enfin, il y a , tout au long de ces pages, le ton de Cavanna. Les lecteurs de Charlie Hebdo le reconnaîtront, bien sûr, mais ils seront peut-être surpris d’y découvrir tant de tendresse. Avec le contrepoint d’une musique mélancolique aux histoires le plus hilarantes, et des échos burlesques aux histoires les plus poignantes.
Rosa Laisné, l’Express
Cavanna, avec son ton familier de baratineur, nous dépeint ses jeunes années d’une façon décousue, se rappelant en vrac les meilleurs moments de son existence d’avant seins ans, à une époque plutôt joyeuse malgré la guerre qui pointe à l’horizon. Cavanna a des tas de choses à dire que ce petit monde agité, oui surgissent ça et là des personnages plus vrais que nature, revivant sous la plume nerveuse, douée pour le portrait, de cet écrivain populiste et rabelaisien.
Jean-Claude Lamy, France-Soir
Drôle, souvent émouvant, souvent terrible comme le meilleur des Céline (celui de Mort à crédit)Les Ritals de Cavanna est un très beau livre.
Remo Forlani, R.T.L.
Soyez le premier à laisser un avis “Les ritals”